Présidence

UNE DELEGATION DE L’AUF REÇUE PAR LE PRESIDENT DE LA COMMISSION DE LA CEEAC

Libreville(Rép. Gabonaise), le 13 juillet 2022

le Prof. Aïssatou SY-WONYU et l’Ambassadeur Gilberto Da Piedade Verissimo

Le Président de la Commission de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC), l’Ambassadeur Gilberto Da Piedade Verissimo a reçu en fin d’après-midi une délégation de la Direction régionale de l’Agence Universitaire  de la Francophonie(AUF) en Afrique centrale et Grands Lacs conduite par le Prof. Aïssatou SY-WONYU, Directrice régionale et le Prof. Jacques ETAME, président de la toute nouvelle Commission Régionale d’Experts Économiques et Scientifiques (CREES) ayant séjourné du 11 au 13 juillet en République Gabonaise pour une série de rencontres avec les hauts responsables politiques et universitaires, la réunion de lancement de la CREES et l’inauguration du Centre d’Employabilité Francophone (CEF) de Libreville.

Pour une visite de courtoisie telle qu’annoncée au départ, la rencontre a pris les allure d’une grande réunion d’échanges sur des questions importantes comme :

  • La problématique de la formation-Emploi ;
  • La qualité des enseignements donnés dans les universités d’Afrique centrale ;
  • Les défis des systèmes éducatifs postcoloniaux et les opportunités qui s’offrent à la région pour les enrayer ;
  • La contribution des universités dans le processus d’intégration régionale en Afrique centrale ;
  • Réfléchir à l’Afrique centrale que nous voulons ;
  • Quels sont les outils dont nous disposons pour relever les défis de l’enseignement supérieur ;
  •  Comment améliorer les méthodes d’enseignement dans nos universités ;
  • Nos universités sont-elles capables de mener une grande réflexion sur l’éradication de la dépendance alimentaire vis-à-vis de l’extérieur, etc.
Photo de famille

Face à cette panoplie d’interrogations, les dirigeants de la CEEAC et ceux de l’AUF sont arrivés à la conclusion qu’un grand travail reste à faire, des énergies restent à mobiliser et à consentir dans la recherche scientifique, d’où la nécessité de relancer au plus vite la coopération entre l’AUF et la CEEAC.

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